Chirac d’automne
Les sanglots vains
De Raffarin
Nous étonnent
Ce nègre fin
Sent le sapin
Cet automne.
Sa politique
Catastrophique
Est pourrie
Et ce ministre,
Est un sinistre
Abruti.
Tout suffocant
Et blême quand
Sonne l’heure
Je me souviens
De mon Jospin
Et je pleure.
(avec Paul Verpin)
Commentaires (1)
1. Lionel de Ré 09/05/2007
Jacques m'aimait donc tant ?